Aujourd'hui ça l'est. Celui qui renfloue les banques maquerelles à coup de centaines de milliards, celui qui baratine à Copenhague, celui qui guerroie en Afghanistan, celui qui manigance les futures entourloupettes au Yemen. Obama, c'est le boxing day, forcément une arnaque. C'est juste un nouveau rouage, sauf qu'il arrive bien huilé, pour que tu le sentes bien profond mais sans douleur. Même que t'adores ça (normal, puisqu'il est n...). C'est comme un Clinton qui ne joue pas du saxo (et pourtant, il est n...) mais avec du changement. De la bouillie pour les cons bien-pensants, du pain béni pour les rednecks endurcis.
Les lignes de divisions n'ont pas changé d'un iota depuis les romans de Richard Wright. Cette fois, espérons vraiment que les bien-pensants vont payer, comme cette connasse de Miss Dalton dans Un Enfant du Pays. Avec Obama, on entend du génie dans le discours mais de la merde sanguinolante sur le terrain. C'est ce que nous chie l'Amérique depuis Kennedy, les saveurs changent, c'est tout. Et le meilleur est à venir.
Bien à vous Oncle Sam et Oncle Tom, d'ici aussi, on n'y voit que du feu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire