dimanche 31 août 2008

Siné cure

Il se fait du bien, le Siné. Après l'épopée Siné-Val qui aura animé les débats passionnés de la saison estival et qui aura mérité un licenciement au vieux fou (pour soupçon de soupçon d'antisémitisme, selon la belle formule d'Iconovox), voilà que le vieux fourbe nous assène un coup sur la ruche avec l'arrivée impromptue d'un Siné Hebdo, quatrième publication du vétéran.

Siné et ses résistants veulent faire la preuve que Charlie n'existe plus. Ce qui ne sera pas difficile pûisque personne ne prend la peine de se départager de ses deux euros pour l'achat de la prose immonde des Val, Fourest et consorts.

Le vrai pari sera de savoir si le journal pourra survivre. Sur son site, le futur journal demande aux fidèles 15 000 pétionnaires d'emmerder les kiosques pour que le titre y soit vendu. Dur dur à une époque où les journaux papier ont du mal à trouver une formule gagnante face à la tendance galopante de la gratuité.

Souhaitons lui longue vie et mort aux cons!

vendredi 29 août 2008

Tête de Turc 4: La Matrone du chaud-bise

La Material Girl, tu connais? Celle qui, en 87, lançait son slip parfumé d'effluves aigres au nez de Jacques Chirac, la chochotte qui a pas voulu aller en Irak? Celle qui suscite aujourd'hui l'admiration des jeunes femmes actives et modernes, qui voient en elle le modèle exemplaire de la businesswoman accomplie et libérée. Même si quand même, elle a un peu réussi avec son cul.
(Ouais, ces mêmes obsédées de l'aquaforme qui aboient au phallocrate dès qu'il t'arrive de loucher dans leur décolleté rembourré).

Exhibée sur la pochette de son dernier album comme une de ses écumeuses d'asphalte professionnelles et édentées que l'on peut croiser jour et nuit au coin des rues Papineau et Ontario, la Madone désormais Matrone, tente désespérément de s'accrocher au wagon des artistes dans le vent. Un french kiss à l'acoolique Britney par-ci, un autre à la délurée Christina par-là et que je t'engage des Timbaland, le renoi à la mode, pour mixer mes tubes tous pourris et frêlatés...

M'enfin c'est quand même pas du gâteau rester au sommet de la vague. Ça l'enrage de voir toutes ces petites poufs écervelées et sans talent se multiplier comme des champignons sur une toison triangulaire mal fréquentée, et lui piquer sa clientèle.

Pour se consoler, elle se dit que Elle, était là bien avant les autres et qu'elle sera là bien après. Elle connaît le secret de la longévité, faut dire. Mais réaliser le grand écart en slip léopard à 50 ans révolus et une hanche en plastique, laisse-moi te dire, c'est pas une sinécure.

Avec le temps (va, tout s'en va...), l'ex de Penn qui faisait bander Jean-Paul Gauthier, a compris, avec son sens aiguisé du business, que se draper d'une aura de respectabilité serait pas une mauvaise affaire.

Là voici adepte de la cabale, philosophie «in» chez les défoncés d'Hollywood depuis que la scientologie est sortie du placard. Madddannna a même écrit des contes pour enfants inspirés de textes Cabalistiques, genre le port du string kosher expliqué à ma fille de onze ans, avec la bénédiction du rabbin Menahem. Super instructif.

Et tu te souviens de l'histoire d'adoption au Malawi?
Tu l'imagines débarquer à Plouc-City dans son super-méga-turbo jet privé, entourée de ses gorilles transportant des sacs de riz.

- Yeah, I'm Madonna. Tu me connais, hein? J'ai besoin de redorer mon image médiatique. Tu vois le topo: les enfants du tiers-monde, live aid, le Darfour, George Clooney, le sida, Brad, Angie and so on.
Je fais mon geste quoi. Allez, j'adopte un de tes petits morveux,ça va? T'en as une chiée de toute façon.
- Euh...Ma-do-na? Maa-do-na? Maradona? Mais attend un peu, t'as pas la gueule de Diego, toi!
- Ben non, vieux bouc. Je veux juste me barrer avec un de tes bâtards. Tu aboules?
- Non, qui va labourer les champs!

Alors, tu vois pas qu'elle le traîne dans sa hutte infestée de rats et qu'elle lui sort le grand jeu style danseuse à go-go all the way from Reno.

- Beurk, c'est quoi ces nibards avachis et mous! ce cul tout décrépit, ces cuisses tartinées de cellulite, ce cou strié de rides. Moi, ce que j'aime c'est les gros lolos bien fermes et les petits culs rebondis de négresses!

Finalement, elle l'a eu son moutard. Elle a craché quelques millions. C'était vraiment touchant à regarder à la téloche, en tout cas.

Ouais, je pourrais continuer à dire du mal de Maâdauna pendant des pages encore. Mais tu vas sûrement dire que je suis un frustré et un jaloux. Et puis c'est vrai que j'ai d'autres choses à foutre un vendredi soir, moi. Comme mater la petite voisine d'en face qui se déloque avant de plonger dans son bain chaud. Avec Like a Virgin qui joue à fond dans mon i-pod, bien sûr.

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Tête de Turc 3: Ballmer le destructeur

Inondé de courriels me demandant qui sera la prochaine tête de Turc, j'ai pas hésité à me réveiller en pleine nuit pour dire enfin la vérité: c'est Steve Ballmer le méchant enculé.

Pour ceux qui ne le connaissent pas, Ballmer est le grand patron vicieux de Microsoft. Encore plus méchant que Bill "je lutte contre le sida" Gates. On prétend qu'il aurait violé sa grand-mère pour pénétrer dans la compagnie...

Pour ceux qui le connaissent, on ne s'attardera pas sur la question, on est d'accord: Ballmer est un enculé.

Déjà connu dans les années 1990 pour être la machine de guerre du monstre Microsoft, il est aujourd'hui considéré comme le lion pansu (on aura reconnu la crinière!) qui ne fait plus peur à personne.

Depuis que Microsoft se fait enculer avec du gravier par (la fut petite start-up) Google, plus personne ne craint la bête immonde de l'informatique qui fit jadis fermer Netscape et tant d'autres (petite, moyennes et grandes) entreprises.

Aujourd'hui Microsoft est la risée des programmeurs de Cégep. Plus personne n'admire leurs succès (quels succès?). Tout le monde déteste Vista. Grrr. Même Yahoo refuse leur offre "agressive" d'achat. Et il y en a qui rejettent l'entière responsabilité sur bas le maire.

Mais Ballmer n'est pas en reste. L'annonce de la dernière version de IE 8 a quelque chose de surprenant. Ne voilà-t-il pas que l'on apprend récemment que le prochain navigateur de Micro$oft offre à l'usager un contrôle "supérieur" sur l'information qu'il transmet, et permet notamment la désactivation des publicités, incluant celles de Microsoft!

Belle initiative pourrait-on croire. Mais il faut remettre les choses dans leur contexte. Google n'existe que parce qu'il contrôle la pub sur le web. 95% des internautes utilisent IE (ok, j'exagère, 94%). Microsoft lui peut survivre sans la pub. Google ne le peut pas. Et si on lui coupait les couilles, quitte à se saborder?

Voilà le calcul perfide de cet abominable monstre des logiciels. Ballmer, l'enculé de sa mère!


Putain faut que je partage ça sur fesses book

lundi 25 août 2008

Tête de Turc 2: à servir accompagnée d'un bon conf(l)it de connard

Couillard, grand couillonneur?

Après avoir piloté le ministère de la santé pendant cinq ans, et même s'il lorgnait à la fin la place de l'autre frisé du PLQ, Couille-Dru a démissionné le 25 juin dernier de son poste. Le fait d'arme le plus exceptionnel de son règne aura, sans doute, été la discrète ouverture du milieu de la santé publique au privé (comme ici, par exemple).

Le voici rapidement récompensé par ses namis du PCP «Persistence Capital Partners», un fond d'investissement privé qui prévoit un boom dans les services médicaux privées dans les années à venir au Québec et au Canada. PCP a en effet décidé d'engager Couille-Molle en tant qu'associé, pour participer aux choix stratégiques de l'entreprise.

Voila un type qui a eu accès comme ministre à des informations privilégiées et confidentielles qui touchent les domaines les plus sensibles du milieu de la santé et qui va maintenant en faire profiter des intérêts particuliers, pour qui il travaillait en fait depuis cinq ans, gracieusement rémunéré par les impôts des contribuables.

Jusqu'où ira Cradouille dans sa vertigineuse ascension et quête du privé pour tous. Il trône déjà au sommet du top 5 des faux-culs de la province, c'est un bon début. Concédons-le lui.

Tête de Turc 1: Sarko le démago

Dans la nouvelle série des Têtes de turc qui nous causent des crises d'apoplexie, on ne manquera pas de citer la petite Sarkozette qui s'paie la pissette sur la croisette.

Bien connu pour ses sorties médiatiques dans le style éléphant dans un magasin de porcelaine (qui eurent leur succès du côté des fabricants d'aspirateurs industriels), l'éléphant élyséen s'en était donné à coeur joie avec les syndicats, les pêcheurs, les ouvriers agricoles, les vieilles femmes aveugles qui traversent la chaussée et j'en passe. Il a même eu récemment quelques mots d'opprobre à l'égard des militaires qui manqueraient de professionnalisme (faut se l'avouer, il a raison! regardez tous ces hommes sur leurs jambes, bien vivants), provoquant une démission au plus haut niveau de l'état-major.

Mais là, le Sarko démago vient nous titiller l'ego démocrate ouestocentrique. Profitant qu'il s'en aille commémorer les massacrés d'antan à Maillé, le pourfendeur du verbe nous en met plein la gueule avec des élans du coeur contre la barbarie, se permettant à l'occasion de comparer les Talibans aux Nazis massacreurs de village du temps de l'Oncle Nestor.

Aussi, si on peut se permettre quelques petites remarques de circonstances, et ce sans vouloir plaider la cause du talibanisme, ne faut-il pas rappeler justement que l'envahisseur étranger dans le cas de l'Afghanistan, c'est pas les barbus "barbares moyenâgeux" autant qu'il voudra, mais les forces de la "coalition", appuyée peu ou proue par l'opinion internationale, ça ne change rien.

En attendant que les soldats français aillent mourir et massacrer chez eux, on rappellera discrètement que l'échec de la mission (pacificatrice, civilatrice, gazoductrice, appelez-la comme il vous plaira) est patent.

jeudi 21 août 2008

Excuses à la con

Le festival de l'obscurantisme se poursuit. Comme on l'apprenait cette semaine, Santé Canada refuse de diffuser sur le Web un rapport portant sur les risques sanitaires des changements climatiques, sous prétexte que le fichier est trop volumineux. Il faut plutôt adresser une demande écrite pour avoir l'immense privilège d'en recevoir une copie.

Mais qu'entend-on par trop volumeux? Sept minuscules mégaoctets! Bref, c'est encore une fois n'importe quoi.

À croire qu'ils ont un vieux modem comme lien Internet chez Santé Canada.

jeudi 14 août 2008

Dans le cul, la culture

Kostoglotov a déjà écrit sur le projet de loi C-10, or voilà que nos rednecks réactionnaires à Ottawa se lancent maintenant dans un tout nouveau Festival de la coupe.

Et on ne parle pas ici de la Coupe, celle dont les effluves subtiles incitent à boire de la bière de Serge en généreuses quantités et à tout briser sur son passage après une ronde de huitième de finale victorieuse. Quoique, il y a peut-être un lien.

On remarquera également que l'annonce a été faite en plein été — évidemment — et pendant les Zolympiques.

À lire aussi : Sus aux radicaux et aux marginaux et Une ministre muette.

Devant tant de conneries, on se surprend même à apprécier l'humour de Denis Coderre : « Elle mérite l'Oscar de la figurante de l'année, catégorie "Je sers à rien" ».

Les contrats LTE de Bell Sympatico

Y sont pas rares les gens à Montréal qui se plaignent de Bell Sympatico. Il s'agit en réalité d'un mal congénital. Tout ce qui touche de près ou de loin à Bell incarne le mal absolu.

Moi bonne pomme, je fais confiance à la compagnie depuis 2003 au moins. Depuis que j'ai ouvert mon compte internet illimité, pas un pépin, tout baigne dans l'huile.

Il y a bien quelques petits désagréments: une fois par année, obligé de prendre le combiné téléphonique pour me plaindre de l'augmentation tarifaire. 5$ par mois, c'est pas grand chose, mais ça payait mes clopes. Et eux, super, pas de souci Quintal, on te remet ça comme avant. C'est juste que ton contrat était terminé. On te le renouvelle pour un an. Allez on en parle plus. Je te fais une fleur, je te rembourse le trop perçu. Oui c'est ça. Je t'aime. Qu'est-ce que je peux faire pour toi? Je te prête ma soeur?

Et moi, j'y croyais, à cette idylle. Je me plaignotais à peine: Mais quand même les gars, un courrier, ça vous coûte rien. Mieux! Un courriel... Vous êtes quand même une compagnie de technologie. Vous avez mon email. Rien de bien méchant en somme. Vite dit, vite remballé. On s'embrasse et on s'aime encore.

Mais là, les bisous dans le cou ont tourné au vinaigre. Cette année encore, ma facture bascule vers les 5$ supplémentaires attends chéri je vais t'enlever ça avec une aiguille.

Bonne poire, je crois qu'un coup de fil à ma téléphoniste de charme suffira à régler la situation. Que nenni! On a pas passé 5 minutes au téléphone que la demoiselle me propose un contrat LTE. Moi: Mais c'est quoi ça LTE? Je veux juste le renouvellement de mon contrat illimité comme d'hab quoi. On s'embrasse et tout. Non? Et elle. Tu vas voir Quintal, paraît que chez vous les mecs ça stimule la prostate. Tu vas aimer ça, LTE. Et moi: Quelle prostate? Minute, j'appelle bien au 514-310-7873, Bell Sympatico Mon Amour? Elle, non. Maintenant c'est Bell Antipatico Cause Toujours. On a un forfait LTE. Et moi. Mais c'est quoi LTE!

Au bout d'une demie-heure de parlementation, j'ai eu gain de cause. Contrat renouvelé et rembourssement du trop perçu. Mais la tendance est là. Bell a compris que les contrats illimités étaient un pari perdu d'avance. Que la bande passante ne cesserait de grossir et que la promesse d'infinité de ressources (c'est bien ça, illimité?) ne pouvait pas être tenue. Alors elle tente de contourner la loi en annulant de gré ou de force les contrats. Allez, laisse-toi enculer.

Alors pour le plaisir, regardons la vidéo de Jean-François Mercier qui a vécu quelque chose de relativement semblable et qui le raconte mieux que moi.

dimanche 10 août 2008

PekinKiri

Les JO, une autre manière d'être constipé?

Ça a commencé le 8 août, et ils vont se faire chier à nous faire chier comme ça pendant deux semaines.

À l'image de ce Kaka-Kiripa, y en a qui ont dû un peu trop forcer sur les lentilles à l'heure du midi. Souhaitons leur tous une bonne diarrhée réparatrice et pas trop de médailles en chocolat.

jeudi 7 août 2008

Hommage

Et voilà, je réponds enfin à l'invitation de Quintal en rendant un hommage à ce délicieux blog qu'est Kaka-Kiri!

J'ai donc pris le risque de laisser libre cours à mon imagination, qui s'est malheureusement emparée du nom de ce blog sans aucun respect. Elle a au moins eu le mérite de répondre à une question qui est sur toutes les lèvres: oui, la Vache-qui-rit se fait chier à sourire bêtement sur des boîtes de pseudo-fromage, et c'est pour ça que la lumière du frigo s'éteint quand vous fermez la porte. Ça lui permet d'aller se soulager dans le bac à légumes sans même que vous vous en aperceviez. Et ne me dites pas que c'est dégueulasse, car si vous mangez de la Vache-qui-rit, vous ne mangez pas de légumes, donc ça ne peut pas vous déranger.

Bref, en exclusivité mondiale, voici la preuve en image:


Et attention les jeunes, consommez avec modération, car comme le veut l'adage populaire, kaka qui rit, kaka à moitié dans ton lit...

Les origines de Kaka-kiri

Hilarious Clinton

On la croyait oubliée, enterrée, mise au rencard, silencieuse et docile comme elle l'a si longtemps bien été. Il n'en est rien.


À la question qui demande en substance si elle va laisser son nom sur la liste des candidats à la candidature du parti démocrate, l'incroyable Clinton n'a pas répondu du NON clair auquel on se serait attendu de sa part. Il semblerait en effet que l'ex first lady ambitionne de prendre par la force de l'arrogance ce que Obama ne lui a pas proposé honorablement.

Dans une intervention conjointe, les deux bureaux de presse des deux candidats Obama et Clinton ont pourtant réaffirmé que le parti démocrate demeure uni. Il s'agit simplement de sauver la face, on s'en sera douté.

Elle manque vraiment pas de souffle, la bougresse.

mercredi 6 août 2008

Oprabama

La très influente Oprah Winfrey s'était déjà prononcée en faveur de Barack Obama. On se souviendra de son fervent cri du coeur où elle expliquait en substance qu'elle ne s'était plus engagée en politique car il n'y avait pas vraiment pour quoi, mais que là elle voulait mettre son pote au poste de président des USA.


Eh bien on apprend maintenant du travail des deux universitaires Craig Garthwaite and Tim Moore que non seulement elle parvient à faire acheter des livres à ses téléspectateurs (on se rappellera à ce sujet son intervention à SP où son anus s'est fait tirer), mais qu'elle a réussi également à attirer des votes en faveur d'Obama (et à faire fuire d'autres, mais en proportions moindres).

dimanche 3 août 2008

Les jeunes sodomites libéraux

Tripler les frais de scolarité, voilà la dernière trouvaille des jeunes troufions libéraux du Québec. Toi, l'étudiant qui trouve que c'est déjà assez de te farcir l'enculade maison semestrielle, faudra désormais que tu fournisses la vaseline en sus.

Apparemment, même Charest, dans un discours marqué de pénétration et de profondeur, n'a pas trouvé l'idée des plus emballantes. La rentrée approche, pas le moment d'exciter la vindicte du cheptel étudiant. Il est vrai que le dégél progressif annoncé il y a quelques mois n'est déjà plus d'actualité.

En attendant, pour paraphraser Hakim Laâlam, je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.

samedi 2 août 2008

Comme quoi ma femme se drogue

Aujourd'hui, je surpris ma femme en train de sniffer d'la colle, ou je sais pas comment on appelle la chose dans le jargon des englués du pif. Y avait un numéro de High Times sur la table du salon; et en lieu et place de mes bras câlins, des traces d'ébats où je n'étais pas. Y a vraiment des coups de pieds au cul qui se perdent.

J'y ai dit genre: mais qu'est-ce tu fais là? Et elle, impavide, telle une vache espagnole qui se met à l'anglais: Meu qu'elle me dit.

En plus c'était une colle spéciale. Le genre que les menuisier hésitent à appliquer aux meubles. Un tube venu d'Iran. Encore un produit de ces ahmadinejado-benladistes qui déversent sur notre civilisation occidentale le fiel de leur décadence.

Je comprends mieux le combat des Val et consorts. Allez les mecs, encore un effort pour nous sortir des affres des années 1960.