Non, je n'ai pas disparu. Juste parti en vacance.
Méditant un jour sur l'absurdité de la vie, une main à me gratter le cul, l'autre à me curer le nez, je décidai sur un coup de tête de prendre mes clics et mes clacs et d'embarquer sur le premier ferry en partance pour l'Europe. J'ai atterri, façon de parler, en Belgique et j'ai vu plein de gros lolos.
Dans ce plat pays qui n'est pas le mien, c'est vrai que j'en ai vu des putain de décolletés. À Namur, Bruxelles, Bruges, Ostende et Anvers pardi, les donzelles n'avaient aucun scrupule à exhiber d'opulents nibards débordant de fins tissus dentelés. Des poitrines mirobolantes auréolées de tétons énormes, comprimées et soutenues lourdement, au bord de l'implosion lactécente. Ménagères, étudiantes ou jeunes professionnelles, elles défilaient devant ma mâchoire baveuse, une mâchoire de maghrébin venu planter banderille sur banderille dans les moules fraîches...et les frites graisseuses.
Finalement, j'ai fait une orgie de yaourts. Il suffisait de presser.
On cite souvent la Belgique pour son chocolat, sa bande-dessinnée, ses frites et ses pédophiles. Oubliez tout ça, c'est du gnan-gnan. La Belgique ne vaut que par les nichons fabuleux de ses belges.
Vous me croyez pas? Allez voir ici.
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