samedi 18 octobre 2008

Normandie: vaches maigres et chattes osseuses

Hey bien oui, comme dirait l'autre, il a bien phallu(s) que je quitte la Belgique pour éviter l'overdose de lactose. Après ma vallonnée Wallonie, j'ai fait cap vers le sud. Sur mon chemin vers Paris, j'ai fait un crochet par la Normandie, vous savez, ce bled qui sert d'urinoir au bon Dieu onze mois et demi sur douze (rapport aux précipitations, on s'entend).
L'herbe est grasse en Normandie et on y fabrique du camembert premier choix. Dans cette optique, je comptais bien vérifier quelques théories sur la vigueur des normandes. De celles qui te pressent leur Brahim comme un citron en l'asphyxiant d'une prise poitrale digne de la WWF. Faut dire que dans les montagnes de Sidi El Wali, on aime ça les cuisses fortes, les hanches enrobées et les poitrines généreuses, à condition de ne pas tomber sur la mégère apprivoisée.

Mais qu'elle ne fut pas énorme ma déception lorsque je débarquai dans cette taverne chaudement recommandée par un éleveur de bovins en vue de la région. Des piquets de parasols que je me suis coltiné, je vous dis pas. J'en ai encore mal au cul. Au moins, le pinard était bon, le fromage et la baguette itou et j'ai jamais manqué de cure-dents pour le reste de la soirée.

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