vendredi 16 janvier 2009

Post Obamania…

Comment se porte le culte du renoi le plus cool de la première décennie du XXIe siècle ? C’est une question qui se pose légitimement à quelques jours de l’inauguration. Pour l’occase, et si cela vous intéresse, je vous conseille fortement d’aller voir une sympathique con-pilation des discours d’inauguration des présidents télévisés américains sur www.XXXvid… euh, excusez, défaut de formation… le lien : http://www.hulu.com/inaugural-speeches

Mais bref, revenons-en à notre question : eh bien il s’avère que malgré la crise financière qui a pour conséquences licenciements, hausse de l’insécurité et stagnation économique car les gens n’ont plus vraiment de quoi consommer, tout le monde semble continuer de croire au symbole d’espoir que Hussein a représenté et continue de représenter.
Nouvelle à la donne cependant, la crise actuelle au moyen orient. Là, c’est une autre histoire. Il faut dire que depuis que celle-ci a commencé, la Maison Blanche joue un peu au fonctionnaire un Vendredi après-midi précédant des vacances. On ne prend pas de nouveaux dossiers. Mais l’opinion publique locale semble pencher en faveur de cette attitude d’ignorer ou de ne pas trop se mouiller dans l’histoire tant que les problèmes locaux ne sont pas réglés. Il sera toutefois intéressant de voir comment la nouvelle administration va aborder le problème.

Sur un plan plus touslesjoursdiste, les t-shirts de mister Obama continuent d’être portés fièrement. Je m’en suis même fait offrir un ! On voit des posters un peu partout, des « Yes, we can » et des imprimés de la face du président élu avec la mention « Hope » en dessous.

En tous cas, il aura vraiment gagné la confiance de son électorat. Reste à voir s’il saura la garder et lui faire honneur.


Il est pas cool ce Obama ? Un mix entre Neo (The Matrix) et Martin Luther King (dont c’est le jour Lundi d’ailleurs). « Toi même tu sais… » qu’il semble nous dire l’amigo !

1 commentaire:

Unknown a dit…

Souhaitant à ce président beaucoup de chance pour relever tous les défis qui l’attendent et surtout de ne pas finir comme Kennedy.